Savon Rivale de Claus Porto

"La beauté plait aux yeux, la douceur charme l'âme."

Voltaire

J'ai découvert les savons Claus Porto il y a quelques mois dans une boutique magique que je fréquente de temps à autre (Terres Essentielles). Je n'avais pas eu l'occasion de les essayer avant que l'on m'en offre un lors de mon anniversaire. Ce qui est fait maintenant et c'est une belle découverte.

La maison Claus Porto a été fondée en 1887 et reste encore aujourd'hui la plus prestigieuse du Portugal. Parmi leurs nombreuses collections, la "classique" est celle qui avait retenu mon attention car elle a été rééditée avec de jolis emballages rétro.  

Ces savons sont enrichis à 2% de beurre de karité, fabriqués à l'ancienne, tamponnés à la main et séchés naturellement à l'air. Même s'ils ne sont certifiés bio, ils sont 100% naturel. Ma ligne de conduite n'étant pas sans faille, je déroge de temps à autre à mes principes lorsque je sais ce qu'il y a dans mes produits de beauté. 

L'odeur du modèle que j'ai dans ma salle de bain (Rivale) est divine : elle marie le pamplemousse et la figue. Il mousse sans être asséchant pour la peau. Celle-ci parait même plus douce après la douche ... 

D'autres modèles attirent l’œil... Succomberons-nous ?

www.clausporto.com

There is no place like home.

A l'orée d'un bois, dans une jolie clairière, on découvre la maison de Mark Firth et de sa famille. Fermier et restaurateur, il vit dans cette ferme "rêvée", près de Monterey, aux Etats-Unis. L'endroit respire la tranquillité, la vie au grand air, la quiétude ...

La ménagerie est là et elle fait bon ménage !

Il cultive d'ailleurs, dans son terrain immense, une partie de ce qui est proposé à la carte de son restaurant.

Mark, Bettina et leurs deux enfants posent sur le banc de la terrasse, juste devant leur maison de bois bleu. Que dire d'autre sinon : ils donnent envie ! 

Le genre d'endroit qui nous faisait rêver enfant : la rivière, la nature, la balançoire ... et qui nous fait toujours rêver maintenant !

Retrouvez la suite du reportage photo avec une interview de Mark Firth sur le site de FreundevonFreunden. 

 Anna Karina, Pierrot le Fou de Jean-Luc Godard

"Qu'est ce que je peux faire ? J'sais pas quoi faire ..."

Marianne-Anna Karina, Pierrot le Fou  de Jean-Luc Godard

Lorsque j'étais adolescente, j'étais complètement fascinée par Anna Karina. J'ai vu tous les films qu'elle a tourné sous la direction de Godard. Ma préférence allait à Pierrot le Fou (comme beaucoup de jeunes gens, je pense), mais j'étais aussi très fan de Une femme est une femme et de Alphaville. Je la trouvais si naturelle, si féminine et même temps sans apprêt. Elle incarnait pour moi la grâce, la jeunesse, la liberté de ton et de corps. Et, il faut l'avouer, j'en pinçais un peu pour son amoureux fictif, Ferdinand-Pierrot le fou aka Jean-Paul Belmondo. 

Son style vestimentaire me semblait si parfait, si quotidien en étant chic, que je tentais de lui ressemblais ... enfin, comme je le pouvais. 

Plus que ses vêtements et ses coiffures, c'est sa personnalité qui m'avait happé - et qui me happe toujours aujourd'hui.

La Religieuse de Rivette est un exemple frappant des choix puissants qu'elle faisait au cinéma. Et l'écouter aujourd'hui, chanter avec Philippe Katerine ou créer des contes musicaux pour enfants démontre de ses grandes capacités créatives !

A son arrivée à Paris (danoise, elle n'avait que dix-sept ans), elle commença sa carrière comme mannequin. C'est d'ailleurs Coco Chanel qui lui a donné le nom d'Anna Karina (elle s'appelait Hanne Karin Bayer). 

Puis elle fit la rencontre de celui qui allait devenir son mari, Jean-Luc Godard, et fit huit films avec lui. 

Elle tourna avec des réalisateurs aussi divers que Michel Deville, Roger Vadim, Maurice Ronet, Tony Richardson, Fassbinder, Raoul Ruiz, pour ne citer qu'eux.

Elle réalisa deux longs-métrages : Vivre Ensemble en 1972 et Victoria en 2008.

Chanteuse, elle se fit connaitre notamment grâce au téléfilm Anna, dans lequel elle jouait le premier rôle. La bande originale était l'oeuvre de Serge Gainsbourg... Magnifique !

Ne pas hésiter à jetez un œil à cette vidéo ! Quelle femme, hein ?!

 Jesse Kamm et son fils

Styliste talentueuse, Jesse Kamm vit sur le Mont Washington à Los Angeles, avec son époux et leur fils. Leur maison est très inspirante. Elle est lumineuse, emplie de bois et de teintes très claires et apaisantes.

Je ne pouvais que flasher sur ce style épuré mais chaleureux, d'autant plus que les propriétaires de cette demeure sont aussi surfeurs !

On the road ...

Allez voir le site FreundevonFreunden (dont les photos sont extraites), l'interview de Jesse Kamm est très intéressante. 

 Nada Lottermann

"Je n'aime pas les maisons neuves : leur visage est indifférent ."

Sully Prudhomme, Les Solitudes.

Voici l'appartement de la photographe et styliste allemande Nada Lottermann. J'ai découvert ces images sur le site (formidable !!!) FreundeVonFreunden. Installée à Francfort, elle nous ouvre les portes de son antre pour le plaisir des yeux !

Un intérieur comme je les aime : chaleureux, lumineux, à la décoration éclectique. La présence des enfants est plus que palpable et cela apporte toujours un supplément d'âme à un lieu !

Une idée très simple à réaliser mais qui fait toujours son petit effet : l'accumulation de cadres divers et variés avec photos ou illustrations. 

Le fauteuil en cuir, The Long Chair de Eames (1956). Je le veux chez moi ! 

Le mélange cuisine-affiches est vraiment accrocheur !

Cette mappemonde donne envie de connaitre tous les pays du globe et offre une touche de couleur bienvenue dans une chambre d'enfant.

Encore et toujours l'accumulation de cadres et ... des livres, des livres, des livres. Indispensable dès le plus jeune âge !